MES EXCLUS LULU !

Mercredi 24 Avril 2013

Le héros est de retour parmi nous !

Retour sur la soirée du mercredi 10 avril

Encore merci à Super-Mimosa 

pour le chouette reportage photo,

et au photographe qui a immortalisé la soirée.

La vidéo de mon discours.
Les images, chargées depuis un téléphone, 
ne sont pas de très bonne qualité.
Mais vous avez au moins le son et l'ambiance !

Un grand grand GRAND merci à ma Titine !!!

 Le texte intégral de mon discours pour François

Intro musicale de la B.O de Titanic

J’arrive, je chante :

« Near, far, wherever you are, I believe that, the heart will, go on … »

"Avant le 10 novembre 2012, je dois avouer ici que Céline Dion hurlant pendant que le Titanic coule, c’était à peu près ma seule référence en matière de bateau et de course au large !

Soit dit en passant, François, merci d’avoir su éviter avec brio les icebergs de l’Antarctique, car je ne suis pas sûre que ma réserve de Kleenex aurait survécu à un remake du film !...

Mais dès lors que j’ai été choisie pour suivre le Vendée Globe en tant que chroniqueuse pour l’Ile de France, tout a changé !

Voile Magazine, Voiles et voiliers, Voile à vapeur … j’ai acheté absolument tous les journaux qui parlaient de près ou de loin du Vendée, et rapidement, ce que j’avais toujours pris pour des termes de films cochons, « Ooooh ! Attention je vais empanner », ou bien « matosser », ou encore « tirer sur des bouts », tout cela m’est subitement devenu un langage familier.

J’étais fin prête pour assister au départ de la course, et surtout … prête à tout pour embarquer ni vu ni connu sur MACIF 60 pieds, et faire le voyage avec toi en passager clandestin !

En tout bien tout honneur évidemment, juste par pure conscience professionnelle …

Toi qui as affronté avec courage et maestria les pires dangers, les mers du Sud, les tempêtes, tu n’imagines certainement pas à quel point j’ai moi-même échappé au pire en étant désignée pour suivre tes aventures.

Car j’ai fait beaucoup, beaucoup de jalouses parmi mes collègues … même des jaloux tiens ! Et nombreuses sont celles qui ont tenté de m’empoisonner, ou de me pousser du haut de ma chaise de bureau en espérant ainsi prendre ma place et avoir la chance de te rencontrer avant le départ …

Le départ justement, parlons-en ! Il est temps de rétablir la vérité avant que Mediapart ne se charge de faire éclater le scandale !

A peine le coup d’envoi avait-il été donné que tu faisais déjà demi-tour !

La raison officielle : tu aurais soi disant volé le départ comme un vilain petit tricheur espiègle, et du coup, on t’aurait soi disant obligé à repartir sur la ligne …

Je me dois aujourd’hui de révéler la vraie raison de ce demi-tour :

alors que la course était à peine lancée, tu as soudain découvert que j’avais réussi à me planquer sous ta couette, et du coup, tu as été obligé de rebrousser chemin pour me redéposer, que dis-je, me jeter, comme une crotte, sur les pontons !

Par ta faute, François, j’ai donc été forcée d’embarquer sur l’une des navettes réservées aux salariés. « Engagez-vous » qu’y disaient ! « Rengagez-vous ! » « Vous allez vivre un grand moment en accompagnant François ! » « Haut les cœurs ! » …

Haut-le-coeur oui ! Ca … on a tous vécu un moment d’anthologie …

On se demandait, en te voyant partir, toi, si jeune, et d’apparence si frêle, si tu aurais les tripes pour une telle aventure … Eh bien nous, pendant cette heure-là, nous avons bien vu ce que nous avions dans les nôtres !

Mais comme on dit, « A chaque chose malheur est bon » : je crois bien n’avoir jamais autant ressenti ce que voulait dire notre slogan, « La solidarité est une force », que pendant cette heure, bord à bord avec toi, où nous avons tous vomi en chœur !

Et il n’y a pas à dire, partager son petit sac en papier avec un directeur, ça resserre sacrément les liens !

Ensuite, de jour en jour, et au fil de ton duel homérique avec le skipper de Banque-Populaire – décidément ces banquiers, même sur la mer ils ont le don pour nous gâcher la vie – la tension et la ferveur ont commencé à nous gagner les uns après les autres.

Crois bien que nous mesurons tous à quel point tu as dû en baver pendant ces 78 jours de mer.

La fatigue physique, l’extrême tension nerveuse, les petits et grands bobos …

Mais tu dois savoir que nous aussi nous avons sacrément dégusté dans ton sillage !

Combien de collègues ai-je vus arriver le matin, l’œil hagard et le cheveu hirsute, parce que tu avais disparu des écrans radar et n’étais plus localisé ?

Et combien de fois en ai-je surpris d’autres, se livrant à des séances de vaudou en salle de repos, et piquant des poupées Le Cléac’h pour t’aider à le semer ?

D’ailleurs on dit que les Bretons sont têtus, mais moi je trouve surtout qu’ils sont particulièrement collants !!!

A titre personnel, comme toi, j’ai fini par ne plus dormir que par tranches de 20 minutes pour surveiller les pointages, et notamment celui de 5h du matin … J’en profite pour demander pardon à mon chef si je me suis régulièrement endormie la tête sur mon bureau pendant ces trois mois mais ce n’était pas ma faute, c’est la faute de François !

Quant à la fin de course, elle aura été pour nous tous, salariés de la MACIF, une épreuve à la limite du soutenable tant tu auras pris un malin plaisir, limite sadique, à ne pas creuser l’écart, histoire que nous soyons tous au bord de la crise de nerfs ou de la crise cardiaque.

Moi-même, alors que je me préparais déjà à me rendre aux Sables-d’Olonne pour l’arrivée … - Je me voyais, courant au ralenti sur le ponton, avec ma grâce et mon élégance naturelles, cheveux au vent, pendant que toi, François, tu arrivais vers moi, au ralenti aussi, debout à la proue de ton fier bateau … chabadabada … chabadabada …

Et Paf ! Fin du rêve ! La tuile ! L’avarie de dernière minute ! Pour moi heureusement, pas pour toi, ouf !

Je me retrouvais clouée sur un lit d’hôpital, incapable d’aller assister à ton arrivée …

Inutile de te dire que j’ai immédiatement dépêché les Expert à Miami et à Rueil-Malmaison pour analyser la vésicule biliaire que l’on venait de m’enlever …

A l’heure actuelle, la thèse de l’empoisonnement criminel semble se confirmer et les soupçons se portent déjà sur quelques collègues qui semblent être parvenues à leurs fins : m’éliminer et prendre ma place dans tes bras à l’arrivée …

Mais ce n’est pas grave ! Parce que lorsque tu es parti, nous n’avions qu’une idée en tête : que tu parviennes à boucler ton tour du monde en solitaire, et à faire parler de la MACIF.

Au-delà de nos espérances, tu es finalement revenu en sublime vainqueur, et, surtout, tu as réussi à nous faire partager des instants uniques, des émotions intenses, et au bout du compte, à nous fédérer autour de toi.

Pour tout cela, et au nom de tous les salariés, je tiens à te dire chaleureusement, merci.

Mais je dois aussi te remercier pour autre chose.

Début janvier, j’écrivais ceci dans ma deuxième chronique :

« … Et l’on se prend maintenant à rêver d’un retour aux Sables-d’Olonne en vainqueur, et que ce jour retentissant en termes d’image, soit proclamé à jamais jour férié pour tous les salariés de la MACIF ! »

A l’époque, ma proposition avait soulevé – Oh comme c’est bizarre – l’enthousiasme de mes collègues !

Mais maintenant que le 27 janvier est devenu un jour d’auguste victoire à jamais gravé dans nos mémoires, je me dois d’aller au bout de ma mission et tenter de rallier nos dirigeants, à mon panache blanc dès ce soir !

Alors François, tu étais déjà notre héros de l’année, mais je te jure que, si tu m’aides à convaincre nos directeurs, tu seras notre héros pour l’éternité !"

Mercredi 10 avril, les salariés de l'Ile de France étaient invités à venir rendre hommage à François Gabart, en célébrant avec lui sa magnifique victoire dans le Vendée Globe 2013-2013.

Environ 300 personnes étaient présentes à La Bellevilloise pour rencontrer notre skipper préféré.

L'occasion pour ceux qui n'avaient pas encore eu la chance de croiser sa route, de découvrir à quel point François est quelqu'un de bien. 

Sympa, humble, répondant toujours avec gentillesse et bienveillance à chaque sollicitation, alors même que l'on pourrait facilement comprendre qu'il commence à en avoir ras l'bol de tout ce cirque autour de lui. 

Mais non. François Gabart a certes des obligations liées à son nouveau statut de vainqueur du Vendée Globe, et à son sponsor à qui il doit renvoyer l'ascenseur, mais il pourrait se contenter du strict minimum, et commencer à laisser paraître quelques signes de lassitude.

Mais non non non !

Même au bout de deux mois et demi de serrage de paluches, de séances photos, d'autographes signés à la pelleteuse, même au bout de deux mois et demi passés à répondre aux mêmes questions, à écouter les discours de remerciements, à parcourir des milliers de kilomètres pour assurer le service après-vente obligatoire, François Gabart reste désarmant de courtoisie, de disponibilité souriante, et de patience. 

Toutes les filles le diront : il est craquant. Mais pas que.

Cela va bien au-delà. Le garçon a la tête bien faite, et un charisme tout en simplicité qui fait fondre tous ceux qui ont eu la chance de pouvoir l'approcher et de papoter 5 minutes avec lui.

Et je crois pouvoir dire que nous sommes tous fiers d'être représentés par François, tout simplement parce que c'est un mec bien.

A titre personnel, en tant que chroniqueuse IDF, j'avais été chargée de lui faire un p'tit discours de derrière les fagots.

Je me suis réveillée en pleine nuit pour l'écrire, quasiment d'une traite, puis je l'ai appris par coeur et répété pendant 15 jours histoire de pouvoir le jouer comme un sketch, en espérant que mon intervention le change des discours habituels.

J'en profite pour remercier ma "garde rapprochée" qui se reconnaîtra, d'avoir chauffé la salle ... et la salle, d'avoir été particulièrement chaleureuse et bienveillante à mon égard pendant mon speech, ce qui m'aura permis de m'éclater et, d'après vos réactions, de faire passer un bon moment à tout le monde ... y compris à François qui se sera visiblement bien marré !

Merci à lui pour les p'tits mots sympas échangés sur scène, et pour le temps qu'il m'a accordé en privé pour me signer quelques photos .... qui récompenseront bientôt les fans de ce blog !...

En tout cas, ce fut une belle soirée partagée, et pour moi, un vrai grand souvenir.

Merci François !

ARRIVEE DE FRANCOIS SUR SCENE

Si j'ai pas un air couillon de midinette là-d'ssus ... La honte ! 

Alors ? Jalouses les fiiiiilles ?

Ma préférée pour faire bisquer hé hé hé !

... et les autres qui vont faire enrager les Fifille, Catherine, Titine and co ... hu hu hu !!!

Juste avant mon entrée en scène

Féline Fion sur scène
"Near, far, wherever you are, 
I believe that the heart does go on"

C'est bon, c'est gagné : François se marre !

Ma grande trouille avant de monter sur scène ?
Faire un beau bide !
Mais ça rigole bien à peine mon discours entamé. 
Je peux me lâcher ! 

Ca continue de bien s'marrer ! Quel pied pour moi !

Ya des sourires qui font plaisir à voir !

Fifille qui ricane, Paola, Laura Ingalls et Super-Mimosa

Des éclats de rire qui font chaud au coeur



"Je me voyais, courant au ralenti sur le ponton, 
avec ma grâce et mon élégance naturelles, cheveux au vent, pendant que toi, tu arrivais, au ralenti aussi, 
debout à la proue de ton fier bateau ... 
Chabadabada Chabadabada ..."





La tête hilare de Fifille ! Mortelle !

Titine qui s'bidonne derrière son Aïe-Faune !
Miam-Miam "Même pas honte d'être ma coupine hi hi hi !"
Paola, Laura Ingalls et Fifille

Un de mes p'tits plaisirs de la soirée : 
avoir réussi à faire rire même nos dirigeants 
avec ma demande pour que le 27 janvier 
(jour de la victoire de François) 
soit à jamais proclamé jour férié pour tous les salariés !!!

Petit moment de gloire pour moi : 
une jolie ovation, avec Miam-Miam à la voix de tête, 
et mes potes comme chauffeurs de salle 

Ensuite, François Gabart répond aux questions des salariés

Allez hop ! Plein les yeux avec une floppée de photos du héros !

J'fais ma sérieuse, version garde du corps aux aguets !

Marmotton, sortie brutalement de son sommeil pour ... 
poser à François Gabart, une question sur  ... son sommeil !!!

Avec Marcella

En piste pour les photos de croupe ... 
Heu ... pardon ... de Groupe ...



 Rien que du beau linge !
François, Mimosa, Anne, P'tite Fleur,
moi juste en-dessous, avec Mamie Frigo à droite,
et encore en-dessous,
 Laura Ingalls qui nous fait une pose de top-Model,
à côté de Fifille

Série de 4 photos prises par Paola

Regard complice entre Môman et sa fifille !
Mais qu'est-ce qu'y fait P'tite Fleur ? 
Laura Ingalls fait sa craneuse !

Regard complice entre François et moi.
Mamie Frigo essaye de s'immiscer !
Laura Ingalls est contente d'elle ! 

Mamie Frigo au garde à vous !
P'tite Fleur fait son sourire de beau gosse.
Laura Ingalls varie la pose !
Fifille est constipée !

Alors là, le must !
Tout le monde au garde à vous pendant la Marseillaise !!!...
A part P'tite Fleur qui ricane, comme les footeux de l'Equipe de France ! ...
et Laura Ingalls qui varie une nouvelle fois la pose 
et fait son sourire défilé de mode à d'autres photographes !!!


Marmotton à gauche

Forrest Gump en haut à gauche et Titine en-dessous à droite de François

"Je m'excuse auprès de mon chef (tout en haut) si je me suis régulièrement endormie
sur mon bureau pendant 3 mois, c'est pas d'ma faute, c'est la faute de François !" 

La mère Miam-Miam, toujours bien placée et hilare !... juste à côté de François !

... et une autre qui a pécho la bonne place la coquine !!!...




Fifille et sa banderolle 

Le service Com' IDF 

Avec Pierre et Super Mimosa 

Fifille pleine pêche

Laura Ingalls sans Almonzo, cloué au lit pour s'être fait mal au dos en coupant trop de bois !

Le lendemain, un nain connu m'offre des fleurs au boulot !
C'est sûrement l'effet magique d'Impulse, ou de ma crème pour les pieds,
à moins que ce ne soit mon haleine parfumée saucisson-oignon ...

Mais non !
Il s'agit en fait ...


D'un magnifique bouquet offert par le comité régionale et sa Présidente,
pour me féliciter de ma prestation, avec comme message, super sympa :
"Bravo à l'artiste !"

Super touchée.

Mardi 12 Février 2013

Je sais que vous étiez un certain nombre 
à guetter la diffusion de cette vidéo-là,
que je me suis résolue finalement 
à partager avec vous.

Merci François !

(Avant les images persos, 
la vidéo de François qui m'a le plus touchée,
et, bon j'avoue, fichu la grosse larmichouille à l'oeil ...)

Suite de l'audio-streaming en direct-live avec François

I'm streaming in ze Rennes
Jeuste streaming in ze Rennes ...

C'est ma 2e question à moua hu hu hu !!!

et la fin de l'entretien, avec un p'tit mot de François pour nous tous !

Dimanche 2 Décembre 2012

11h10

Audio Chat' avec François Gabart

en direct du bateau MACIF

Un de mes privilèges 

de chroniqueuse de ce Vendée !

Ma question à moua !
(Faut bien qu'j'fasse un peu ma crâneuse quand même !)

suivie d'une question stratégie

Une question sur l'état de sa consommation de ... chocolat !!!

Questions diverses

 

 ...

Retrouvez la suite de l'audio-Chat',
avec entre autres, ma 2e question,
lundi !